Mensonges couverts d'idéologies, moralité qui s'évanouit
La folie, l'utopie, l'emportent sur la raison
Tu lis, tu crois tout ce qu'on écrit
Tu gobes et puis tu obéis, plus de sens à ta vie
Tu croyais savoir tes leçons

Les livres d'écoles ne sont que des mots
Qui t'assom

Elle est entrée dans leur vie comme dans un rêve
Ils n'y croyaient plus, le bonheur sans elle serait perdu

Elle est l'amour et l'innocence
Elle est future, elle est l'avenir
Elle est lumière dans l'ignorance et le désir

Fruit de l'âme et de l'envie de donner la vie
Da

Ils n'ont fait qu'un pas pour basculer
Celui que la peur a franchi
Le feu de l'espoir s'est consumé
Il ne brûle plus c'est le noir

Leur univers une terre hostile
Leur vie n'en est que plus fragile
Le mal l'a emporté

Le monde tourne ainsi
Dans un faux pas désen

I got no time to sit and wonder
I got no right to live my life
Just like a stranger, they will pull me under
And really too soon, I will be on my knees

I disagree with their feelings
I'll never be playing their dirty game

Do you believe in, do you believe in?
All

Parti de rien pour rejoindre les tiens de part les
Chemins et routes
Parti droit vers l'inconnu,
Lâché sans l'ombre d'un doute
Sous les couleurs d'un drapeau marqué de tes idéaux
Et du sang des héros...
Au chant de bataille...au chant de bataille

Maudit destin,

C'est la bête qui m'a volé les valeurs auxquelles je consentais
Aujourd'hui je vis sans repères, dans la misère
Tout d'abord j'ai pensé rêver, mais le rêve était réalité
Et je suis tombé dans ce piège qui se resserre

Je vis sans adresse, mes pêchés je confesse
Je n'ai plus

J'étais un loup, un rebelle inné, j'avais mes idées
Je savais tout de vos vies rangées et de vos frayeurs
Même à genoux, les jambes brisées, j'aurais continué
A lutter pour vaincre mes erreurs
Mais l'on m'a fait sentir que je n'étais qu'un réfractaire
A la nature de mes pairs

Le verdict est tombé, le mal est fait, la maladie m'a déjà emporté
Ne me racontez pas d'histoires, je n'ai que faire de vos faux espoirs
Je ne crois plus vos mots pour me rassurer
Quand je vois vos yeux qui se baissent
Dans mon for intérieur, bien au delà de mes frayeurs

La

Tu veux des routes qui tracent
De la verdure goudronnée
Des cités qui menacent
La beauté des forêts

Et tu veux la luxure
Les pilules pour t'envoler
Tu vis à toute allure
Dans la finalité

Et si tu peux te retourner
Et rendre enfin sans te presser
Un der

De mensonges en promesses
De peine en désespoir
Je décompte les jours qu'il me reste
Ils sont dérisoires
Tout ça parce que sans preuve
Tu m'as accusé
D'un crime que je n'ai jamais commis
Jamais pensé

Innocent, je n'avouerai jamais
Et ma volonté sera préservé

Je me sens si près, la chance va enfin tourner
Seul, face à un vide inconnu, je vais me lancer

Je pourrai alors choisir et décider
En ignorant la crainte et le regret

J'ai le désir de changer de peau à l'avenir
Et tout recommencer

Je désobéis, je n'ai pas envie

La couleur de ton existence te fait peur
Un épais brouillard t'enlise et te plonge dans l'ennui
Quand le noir s'avance dans la glace et dans la froideur
Au fond de tes nuits, le malheur inonde ton esprit
Et si tu as perdu toute confiance
Alors je deviendrais ton unique éviden

Tu monteras les marches en écrasant les rivaux sans pitié
Et tu construiras une arche pour protéger ta cour
D'un océan de drames

Rien ne sert de considérer les cas désespérés
Mais suivre aveuglément ta volonté
Même si pourtant la file n'en finit pas de s'allonger
Prise

Tu ne peux ni parler ni même nous entendre
Les portes sont fermées
Gardent en toi le secret qu'on ne pourra comprendre
Ni même deviner

D'où vient ce don,cet art surnaturel?
D'où vient ce pouvoir?
Tu n'as pas ton pareil

En seigneur vénal ou maître sublime
De te

Venu au monde sans vraiment savoir ce que la vie allait te réserver
Bienvenue dans la ronde du progrès dérisoire de l'humanité
Nos sentiments ne vont que vers l'argent
La solitude est le mal d'un siècle aveuglé
La vie n'a pas de sens, tu marches ou tu meurs
La réalité n'est s

Aux frontières de la nuit, dans un rêve infini
Se dessinaient les hivers de sa vie
Des visages oubliés, des rivages ignorés
Gardiens du tombeau de son exil

Il savait les maux qu'on ressent tout bas
L'univers de sa peine à jamais nous rappelle

Qu'en Enfer, Dieu semble

Je suis l'héritier d'un peuple décimé, d'un rêve effondré
J'ai vu de mes yeux, aveuglés par le feu
Le sang de mes parents s'écouler
L'instant d'une seconde
J'ai vu creuser ma tombe
Aux yeux de votre monde

J'ai trouvé dans mes croyances cette force qui me fait survivre

J'ai croisé vos regards au détour de la vie
Quand vient l'hiver et va s'éteindre la lumière
Du fond de ma mémoire, je n'ai gardé que de longues nuits d'insomnie
Qui laissent un goût amer
J'ai lu toutes vos pages
Sans jamais ne trouver
Dans vos sombres mirages
Que les

Je ne suis plus rien,je ne sens plus mon corps
Combien d'années ont passé?
Je connais la faim,le froid me ronge si fort
Il m'a brulé les mains mais j'écrirai encore
A l'encre noir des versets
Et jusqu'à la fin résonnent mes accords

En moi je garderai dans les mots le mé

J'ai senti le venin, les crocs d'un assassin
Entrer dans mes chairs
Et j'ai vu mon destin aux lignes de ma main
Sombrer dans un désert

La satisfaction de ma vie
C'est d'avoir résisté
Les armées ne m'auront jamais charmé
Je n'ai jamais douté
Personne n'a pu me so