Ma belle enfant, ma douce amante
Venez près de moi
Près du vieil homme à demi-fou
Qui rit de vos larmes
Amour et sentiments, usés jusqu'à l'extrême
Ne sont que souvenirs à demi-morts

Votre âme est pure, la mienne est noire
Souillée de luxure
Votre corps saigne p

Les Fils de Rien n'ont plus rien à perdre
Aux fond d'eux-même, la vie n'est pas si bonne
Aux quatre-vents s'envolent leurs rêves
Et dans leur tête, la vie ne vaut rien

Alors ils tuent pour virer de bord
Dans les trous noirs, se lavent avec le sang
De la fortune d'autres

Sous les couleurs de l'Islam
Le voile cache la femme
Bercée à l'ombre des âmes

Prisonnière de leurs versets
Femme aux désirs délaissés
Renie l'appel du passé

Elle danse avec ses reins
Sans pudeur autour de moi
Elle joue avec ses main, avec sa foi

Posant

Emporté par le Froid
Mon ultime compagnon
En veillant sur mon sommeil
Mon frère, mon seul ami

Emmène moi dans tes bras
De l'autre côté des vents

J'écris les dernières lignes
Epilogue d'une vie
L'amour la haine, éclatent
Pour la dernière fois

Emmène m

Mille toiles en sommeil
Attendent leur veil
Ne comptent pas les jours
Attendent le retour

Nous les Anges Dchus
Prisonniers sur la terre
Ne craignons l'Enfer
N'avons peur du Dluge

Anges Dchus, nous serons les rois
Lorsqu'au dernier jour sombrerons les Dieux

Mille étoiles en sommeil
Attendent leur éveil
Ne comptent pas les jours
Attendent le retour
Nous les Anges Déchus
Prisonniers sur la terre
Ne craignons l'Enfer
N'avons peur du Déluge
Anges Déchus, nous serons les rois
Lorsqu'au dernier jour sombrerons les Dieu

Le soir lorsque la nuit noire, vagabonde dans les sous bois
En traînant, dans son grand manteau, la légende des mille voix
Hurlements, signes des Rois, flottent alors semant l'effroi
Hurlements, cris d'autrefois, se répandent semant l'effroi, autour de moi
Symboles gravés dans la

Il pleut des années liquides
Sur tes joues deux continents
L'amour nous fait translucides
Ton nez joue à l'océan
Ton corps est un millénaire
Et mes yeux un trajet lumière
Tes cheveux font des anguilles
Sur mon coeur qui n'est plus rien
Qu'une horloge sans aiguille

Ma couronne est posée sur la tête
Qui voit toujours au fond des personnages hideux
Qui disent oui, qui disent non
Où en est la raison ?
Mon plaisir est d'être dans mon lit
Où des lanières de cuir m'entravent les poignets
A l'abris des délires
Des dangers du monde

Regarde un peu dans mes yeux noirs !
Tu y verras ma vieille histoire !
Dans le silence je respire
J'apprends la haine, je m'inspire
Je souris dans la glace
Je n'aime pas ta place
Regarde un peu dans mes yeux noirs !
Tu y verras ma vieille histoire !
Rappelle toi q